L’esclavage candide
Le chapitre 19 de l’œuvre Candide est très intéressant puis qu’il nous raconte une nouveau aventure de Candide et son valet Cacambo. Dans ce chapitre le cadre spacial change car ola quittent l’El Dorado pour aller au Surinam. L’ElDorado est un lieu féerique, fantastique et idéal. Par contre, Surinam est tout le contraire. Sombre, obscure, triste… Quand ils sont dans le Surinam Candide fail réference un autor fois a son amour pour Cunégonde. Je cite: “Candide, transporté, écrivit le nombre de Cunégonde sur les arbres.” On peut voir que Candide est très romantique. Dans le surinam Candide vit un choque de réalité car il remarque la tristesse et une réalité pésimisste. Il rencontre un esclave dans un état malsaine. Quand Candide remarque l’apparence de l’esclave il hallucine. Je cite: “Eh, mon dieu! Lui dit Candide en hollandais, que fais-tu là, mon ami, dans l’état horrible où je te vois?” L’auteur nous montre que effectivement les esclaves dans m’époque étaient mailtraités comme des animaux. L’esclave est terrifié de son maître puis qu’il se montre docile et obéissant. “J’attends mon maître, M.Vandenderdur” La citation nous montre l’air de supérieurité du maître car il est inhumain avec son esclave. L’esclave raconte des anecdotes frappants qui choque Candide. Je cite: “Quand nous travaillons aux sucreries, et que la meule nous atrappe le doigt, on nous coupe la main; quand nous voulons nous enfuir, on nous coupe le jambe” Cette citation nous montre que les esclaves n’ont pss le droit de rien faire, ils doivent obéir et accepter l’inacceptable. En conclusion, ce chapitre nous montre la cruelté de l’époque et en plus un choque de réalité car au Surinam on voit le maltraitance mais dans le monde idéal d’ElDorado c’était tout parfait.
